Le parti socialiste français continue sa marche ambiguë contre la Côte d'Ivoire. Il a la dent dure contre le camarade Laurent Gbagbo, on ne sait pour quelle raison mais on peut aisément l'imaginer.
Dans l'émission "Dimanche soir politique" de France-Inter/Le Monde/ITélé/Dailymotion, le député socialiste Arnaud Montebourg affirme que "La position du PS est très claire, elle est favorable à l'Etat de droit", dont acte. En outre, il souhaite que "le gouvernement français adresse un mémorandum au procureur général près la Cour pénale internationale pour qu'il soit saisi sans délai des faits de crimes politiques qui semblent être commis sur le territoire de la Cote d'Ivoire à travers celui qui abuse de sa position, qui est Laurent Gbagbo". Dans un premier temps, il a imputé les faits graves qui se déroulent en Côte d'Ivoire à Laurent Gbagbo : "les faits très graves qui se sont produits ces derniers jours sont justiciables de la cour pénale internationale contre Laurent Gbagbo." Eh bien, ne nous leurrons pas, cette haine des politiques français y compris des socialistes à l'égard du président ivoirien tire ses origines de ce qu'il convient d'appeler le complexe de supériorité. La France des socialistes conne des umpistes n'apprécient guère que Laurent Gbagbo tire l'Afrique vers le haut en demandant son indépendance totale, cette indépendance que non jamais réclamé ni Houphouët-Boigny ni Omar Bongo ni Yassingbé Eyama. Bien au contraire, ces derniers arrosaient presque tous les politiques de gauche à la droite en passant par le centre de millions de francs CFA, finançaient leurs campagnes électorales, décidaient des ministrables et de ceux qu'il fallait virer. Laurent Gbagbo n'est pas tout cela, il veut discuter d'égal à égal, fixer lui-même les prix des matières premières, remettre en cause la Françafrique, etc. Cette perte à gagner tant en argent sonnant et trébuchant qu'en domination ne peut peut plaire aux politique français. Il faut maintenir l'Afrique dans la misère et verser des larmes de crocodile sur elle. Pour ce faire, il faut choisir une marionnette dont on peut facilement tirer les ficelles depuis Paris. L'homme est tout trouvé, peu importe son passé, son idéologie; c'est Alassane Ouattara.
Dans l'émission "Dimanche soir politique" de France-Inter/Le Monde/ITélé/Dailymotion, le député socialiste Arnaud Montebourg affirme que "La position du PS est très claire, elle est favorable à l'Etat de droit", dont acte. En outre, il souhaite que "le gouvernement français adresse un mémorandum au procureur général près la Cour pénale internationale pour qu'il soit saisi sans délai des faits de crimes politiques qui semblent être commis sur le territoire de la Cote d'Ivoire à travers celui qui abuse de sa position, qui est Laurent Gbagbo". Dans un premier temps, il a imputé les faits graves qui se déroulent en Côte d'Ivoire à Laurent Gbagbo : "les faits très graves qui se sont produits ces derniers jours sont justiciables de la cour pénale internationale contre Laurent Gbagbo." Eh bien, ne nous leurrons pas, cette haine des politiques français y compris des socialistes à l'égard du président ivoirien tire ses origines de ce qu'il convient d'appeler le complexe de supériorité. La France des socialistes conne des umpistes n'apprécient guère que Laurent Gbagbo tire l'Afrique vers le haut en demandant son indépendance totale, cette indépendance que non jamais réclamé ni Houphouët-Boigny ni Omar Bongo ni Yassingbé Eyama. Bien au contraire, ces derniers arrosaient presque tous les politiques de gauche à la droite en passant par le centre de millions de francs CFA, finançaient leurs campagnes électorales, décidaient des ministrables et de ceux qu'il fallait virer. Laurent Gbagbo n'est pas tout cela, il veut discuter d'égal à égal, fixer lui-même les prix des matières premières, remettre en cause la Françafrique, etc. Cette perte à gagner tant en argent sonnant et trébuchant qu'en domination ne peut peut plaire aux politique français. Il faut maintenir l'Afrique dans la misère et verser des larmes de crocodile sur elle. Pour ce faire, il faut choisir une marionnette dont on peut facilement tirer les ficelles depuis Paris. L'homme est tout trouvé, peu importe son passé, son idéologie; c'est Alassane Ouattara.
Le parti socialiste français n'hésitera pas à démontrer jour après jour son infidélité à l'idéologie socialiste en s'alignant sur de la droite française. Il refusera à l'Afrique son indépendance comme ceux qu'il appelle les ultra libéralistes qui favorisent leurs amis par rapport au peuple.
Malgré tout, l'Afrique à travers la Côte d'Ivoire, luttera pour se libérer du néo-esclavage. Comme disait un manifestant, la Renaissance africaine n'a pas de prix.
Malgré tout, l'Afrique à travers la Côte d'Ivoire, luttera pour se libérer du néo-esclavage. Comme disait un manifestant, la Renaissance africaine n'a pas de prix.
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