Il s’est tenu du 29 au 31 Janvier 2011 à Addis-Abeba le sommet des chefs d’Etats africains pour parler des problèmes concernant l’Afrique dont la crise post électorale en Côte d’Ivoire depuis la victoire de Laurent GBAGBO. Plus de 40 présidents Africains ont dit non à une intervention Militaire en cote d’ivoire et qu’il fallait passer par voie du dialogue tout en engageant une enquête très approfondie sur tout ce qui s’est réellement passé pendant le deuxième tour de la présidentielle.
Mr Wade et Mr Goodluck Jonathan préfèrent faire ce que leur demande Nicolas Sarkozy, à savoir renverser Mr Laurent Gbagbo président de la cote d’ivoire, réélu par le peuple dont la victoire a été reconnu et approuvée par le conseil-constitutionnel et plusieurs pays à travers le monde.Alors voici le plan : Abdoulaye Wade se rendra à Paris juste après le sommet d’Addis abeba pour rencontrer son homologue Français. Pendant ce temps d’importantes cargaisons d’armes destinées aux REBELLES feront transit sur le sol sénégalais et plus précisément en CASAMANCE. Ces armes passeront sous haute escorte par la Guinée et plus exactement l’axe Diaobé – koundara, ensuite par la ville de Labé dans le foutah djalon pour après parcourir plus de 1000 km sur le territoire Guinéen en passant par les villes Dabola, Kankan pour finalement sortir du coté d’Odienné.Alors pourquoi ce grand détour ?Parce que par le Ghana ce n’est pas possible quand on sait que Mr Jhon ATTA Mils avait dit non à l’intervention militaire et non à l’utilisation de son territoire pour cette même opération, pareil pour le Mali qui est un pays frère et ami de la Côte d’ivoire qui ne veut pas être mêlé à une opération qui sans doute aura des effets néfastes sur la Côte d’ivoire, sur son peuple et sur toute la sous-région. Aussi il est important de signaler que plus de 5000 soldats sénégalais et nigérians sont déjà à Bouaké pour l’assaut mais attendent le reste des armes qui doivent arriver du Sénégal et du Burkina Faso.Voici le plan que Mr wade ira peaufiner avec Sarko dans les jours qui viennent. Affaire à suivre…

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