Si la démocratie représente aujourd'hui le fer de lance mondial en termes d'élections justes et libres, des critères comme la santé physique des gouvernants méritent d'être élucidées.
Le cas du candidat de l'étranger en Côte d'Ivoire, celui qui a amené les armes et les tueries dans notre pays d'hospitalité et du bien vivre ensemble, Alassane Ouattara reste une énigme. Est-il en bonne santé physique ? Ment-il sur son état de santé ? Ces questions divisent la diaspora africaine dans son ensemble. Pour éviter d'entamer davantage la cote du président du Golf Hôtel, il conviendrait que son bilan de santé soit rendu public. Comme d'ailleurs celui du Président élu légitimement et légalement, SEM Laurent Gbagbo.
En France, particulièrement, ce critère est incontournable. Pourquoi en Côte d'Ivoire serait-il accessoire ? L'UA, en toute sagesse vient d'écarter l'option militaire en Côte d'Ivoire, renvoyant ainsi Nicolas Sarkozy à ses fantômes belliqueux. Aussi serait-il utile d'inclure dans les prochaines discussions le bilan de santé des deux protagonistes, comme critère déterminant.
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