A Abidjan , «il n’y a pas un jour qui passe sans rapport de décès», c'est le titre fort accusateur de Libération.
Dans un reportage, ARNAUD VAULERIN,envoyé spécial du qutotidien de gauche à Abidjan, écrit en sous-titre : Tandis que les enlèvements se multiplient en Côte-d’Ivoire, les partisans de Ouattara vivent dans la terreur et l’ONU s’alarme.
Nul doute, Libé accorde pleinement ses violons avec les confrères français. Le mensonge veut que ce soit les alassanistes qui soient victimes chaque jour d'atrocités, d'enlèvements, de séquestrations avec, évidemment des mercenaires libériens qui circulent de nuit pour tuer des Ivoiriens.
Hier c'étaient des mercenaires angolais qui semaient le trouble. Vu que l'Angola a réagi en accusant la pseudo communauté internationale, aujourd'hui ce sont les libériens.
Il est urgent que des observateurs neutres aillent sur le terrain pour vérifier de la teneur des propos de ces médias qui savent faire la différence entre les pro-gbagbo et les pro-alassane. Il est certainement écrit sur chaque front ivoirien son positionnement idéologique. Et dans ce cas d'espèce, les alassanistes sont innocentés. Drôle de journalisme...Libé n'y va pas de plume morte.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire